Projet OSIRX - 1er quantifieur non destructif de métaux précieux dans les déchets hautement valorisables

OSIRX permet d'enfin connaître rapidement et précisément la vraie valeur des déchets riches tels que les cartes électroniques, certains bains chimiques, etc.

Détails du projet

  • Structure porteuse : Société Technologies de France
  • Nature de l'initiative :
  • Périmètre : Le monde entier produit des déchets, donc est concerné par notre dispositif OSIRX, qui est reproductible à l'échelle locale (appareil à installer chez les collecteurs par exemple).
  • Localisation : Technopôle Arbois-Méditerranée - Pépinière Cleantech 13100 Aix-en-Provence
  • Date de début : janvier 2017
  • Date de fin : décembre 2018

Piliers de l‘économie circulaire

  • Ecologie industrielle et territoriale
  • Recyclage
  • Allongement de la durée d'usage
  • Consommation responsable
  • Economie de fonctionnalité
  • Eco-conception
  • Approvisionnement durable
Description

Lors de leurs expériences professionnelles, Youssef Menjour et Aloïs se sont rendu compte que beaucoup d'acteurs du recyclage de déchets à haute valeur ajoutée (cartes électroniques, bains chimiques, etc.) tels que les collecteurs ne disposent pas d'outil technologique pour connaître la vraie valeur de leurs marchandises. Ils envoient alors ces marchandises chez des prestataires pour les faire traiter. Ces prestataires en bout de chaîne sont donc les seuls à connaître la valeur réelle des déchets qu'ils ont traités. Autrement dit, les collecteurs (ou autres intermédiaires, négociants, etc.) ont aujourd'hui un important manque à gagner en méconnaissant la valeur de leurs marchandises.

Prenons un marché bien connu par Technologies de France (TDF) : celui des cartes électroniques. Aujourd'hui, les gisements de cartes sont collectés, puis une fois massifiés après avoir suivi une chaîne de collecteurs (jusqu'à atteindre quelques dizaines de tonnes), ils sont envoyés à l'étranger chez un affineur (Umicore, Bolliden et Aurubis) qui crame les cartes, en récupère les métaux précieux et en restitue un pourcentage à son client (le collecteur lui ayant envoyé le gisement). Comment ce client peut-il s'assurer que l'affineur lui restitue les vraies quantités d'or, d'argent, de palladium, de cuivre, etc. que contenait son gisement de cartes ? Impossible. En plus, les cartes sont détruites. Aucun moyen de contrôle contradictoire donc, et les affineurs, en position de force, en profitent pour sous-évaluer les métaux précieux restitués. Cette pratique malheureuse des affineurs est un secret de polichinelle dans le milieu. On appelle ça « la gratte ». On estime qu'un collecteur français perd ainsi environ 1000 € par tonne de cartes électroniques "moyennes" négociées. Si on considère le volume de cartes marchandées annuellement en France de 25 000 tonnes (cf. chiffres du projet européen www.urbanmineplatform.eu), cela représente pour la filière tricolore un manque à gagner d'au moins 25 M€ (au moins, car les chiffres annoncés sont conservateurs par prudence). La conséquence pour la filière est grave : comme le collecteur prend des risques en négociant des cartes électroniques, car il ne connaît pas précisément leur valeur, il préférera freiner la collecte de cartes et se concentrer sur la collecte d'autres déchets plus sûrs (câbles, etc.).

C'est là qu'OSIRX intervient. Imaginez un scanner à bagages d'aéroport qui, au lieu de scanner les bagages et d'en détecter le contenu, caractérise 5 tonnes de cartes électroniques par jour, c'est-à-dire détecte et quantifie les métaux (métaux précieux, cuivre, tantale, terres rares, etc.) que contient le flux de cartes. Basée sur la spectrométrie de fluorescence X, OSIRX est très précise (< 1% d'erreur). Le collecteur doté d'un dispositif OSIRX peut alors enfin connaître la vraie valeur des déchets électroniques qu'il négocie. Mieux que ça, il n'a même plus besoin de trier les cartes électroniques selon différentes catégories (A, B, 1A++, 1A+, etc.) qui ne servent de toute façon qu'à entretenir le flou sur ce marché. Résultats vertueux d'OSIRX pour le collecteur : gain d'argent en production + gain d'argent en négociation --> encouragement des collecteurs à collecter les cartes électroniques --> dynamisation de la filière.

Une autre grande qualité d'OSIRX est d'être déclinable à d'autres types de déchets. Nous venons de voir en quoi ne pas connaître la vraie valeur des cartes électroniques est préjudiciable pour la filière, mais cette problématique touche bien d'autres types de déchets ! Qui caractérise aujourd'hui les boues des stations d'épuration d'eau (qui contiennent des métaux précieux tels que l'argent) ? Qui caractérise les bains de galvanisation de certains industriels (qui contiennent aussi des précieux) ? Qui caractérise certaines boues des pétroliers, issus de catalyseurs prétraités (qui contiennent des précieux, tels que le rhodium ou du palladium) ?

Pour conclure, TDF est convaincue que l'avenir du recyclage ne réside plus que dans le tri des flux de déchets, mais aussi dans leur qualification (ou caractérisation). OSIRX est l'outil idéal pour développer les filières de recyclage des déchets qui contiennent des métaux précieux. Certains organismes ont déjà compris tout l'intérêt d'OSIRX et lui ont décerné des prix : l'éco-organisme ESR (Eco-systèmes + Récylum), le ministère de l'Environnement (Greentech verte - Jeunes pousses), Pays d'Aix Développement (Dispositif d'amorçage de Provence), la région PACA et l'Ademe régionale (Filidéchet), Airbus (programme Airbus Développement), l'Union européenne (EIT KIC Climat), Initiative France (Initiative remarquable), etc.

N.B. : Il faut savoir que dans la filière française du recyclage, 80% des équipements d'ingénierie sont importés ! OSIRX étant née et ayant été développée entre Paris et Aix-en-Provence, un petit Cocorico s'impose. C'est aussi l'une des raisons pour lesquelles le nom initial du projet, OSIRIS, dieu égyptien qui voit tout, est devenu OSIRX, dieu gaulois de la caractérisation (et du rayon X) !

N.B. : TDF a le statut de Jeune Entreprise Innovante (JEI), et OSIRX a fait l'objet d'une demande de brevet US provisoire sous le numéro US 62/614,094. Le brevet français est en cours d'étude avec le cabinet spécialisé en PI Med'Invent Consulting basé à La Ciotat.

Coûts de l'initiative

840000 €

Résultats qualitatifs et chiffres clés

Dans un premier temps, nous comptons devenir les champions français de la caractérisation par spectrométrie à fluorescence X. Ceci nous permettra entre autres de nous autofinancer et de pouvoir donner vie à plusieurs projets que nous avons déjà en tête.

Dans un second temps, d'ici quelques années, nous voulons devenir le champion industriel français de l'ingénierie environnementale, tous secteurs confondus.

Environnement

Chaque année, 2700 tonnes environ sont extraites des carrières. Le coût environnemental de cette extraction est catastrophique (les chiffres donnés proviennent du World Gold Council) :

  • 475 millions de gigajoules d'énergie (l'équivalent de la moitié de la consommation énergétique annuelle de la Belgique !)
  • 810 milliards de litres d'eau (milliards !)
  • 54 millions de tonnes de CO2
  • 400 millions de tonnes de cyanure
  • 4 milliards de tonnes de pierre déplacées
  • Je vous laisse imaginer la surface de terrains défoncés...

Or certains déchets tels que les cartes électroniques contiennent aussi de l'or (entre autres). OSIRX est destinée à dynamiser le recyclage de ces cartes, afin que l'or provienne de plus en plus de la mine urbaine plutôt que la mine souterraine. Nous avons calculé qu'un centre de collecte équipé d'OSIRX participerait effectivement de manière significative à la récupération d'or. Voici quelques chiffres en considérant un centre de taille moyenne :

  • Année d'activité :              2018     2019     2020     2021     2022
  • Tonnage de cartes (t) :       181     1314     2712      4375    6064
  • Or (kg) :                           47       449       942       1500     1654
  • Énergie économisée (GJ) : 8333   78944   165747  263956  291040
  • Eau économisée (ML) :       14       134       282        450       496

Les chiffres parlent d'eux-mêmes, et encore, nous n'avons considéré que l'or dans ces calculs (document complet sur demande). Le potentiel du recyclage des déchets électroniques, et des cartes électroniques plus particulièrement, est énorme.

Économie

Notre modèle économique est basé sur la vente d'un dispositif OSIRX GF (pour Grands Flux), capable de caractériser 5 tonnes par jour, pour 350 K€ + 250€ de redevance par tonne de cartes analysées (au bas mot, un collecteur perd aujourd'hui 1000€ par tonne, nous vendons donc la machine sans faire énormément de bénéfice et nous prenons une partie du gain financier dû à la caractérisation d'OSIRX). Le prix final de l'OSIRX GF sera peut-être plus réduit, tout dépend des tests que nous ferons sur notre prototype, et du transfert technologique de capteur RX que nous négocions actuellement avec le CEA. Nous avons également pensé à un autre modèle, le dispositif OSIRX C (pour Compact). Celui-ci sera vendu 100 K€ et sera plus réduit en fonctionnalités, mais plus accessible pour les petits acteurs du recyclage. D'autres déclinaisons d'OSIRX sont en cours d'étude (un OSIRX U pour les laboratoires universitaires, etc.), mais notre prévisionnel financier ne prend aujourd'hui en compte que le marché du recyclage de cartes électroniques.

Voici nos prévisions économiques :

  • Année d'activité :                               2018     2019     2020     2021
  • Nombre d'OSIRX GF vendues (u) :          1          4           6         9
  • CA (K€) :                                            47        449       942      1500
  • Résultat net (K€) :                             -23        265       674       1097

Historique et perspectives de l’initiative

Commençons par le positif et donc par les principales étapes et les principaux facteurs d'accélération :

  • Janvier 2017 : OSIRX lauréat du Dispositif d'amorçage de Provence
  • Mai 2017 : OSIRX lauréat de Filidéchet
  • Juin 2017 : preuve de concept dans un laboratoire à Montpellier - la raie obtenue par spectrométrie de 2 étalons or a bien 2 fois la hauteur de la raie obtenue par spectrométrie d'1 seul étalon or
  • Juillet 2017 : OSIRX lauréat de KIC Climat
  • 14 juillet 2017 : naissance du 1er enfant de l'un des fondateurs, Aloïs Lien. La princesse s'appelle Cybèle et porte vraiment bien son prénom. La naissance le jour de la fête nationale est en outre un bon signe pour Technologies de France.
  • Novembre 2017 : rencontre d'un bon partenaire pour réaliser le prototype puis les futures machines
  • Janvier 2018 : OSIRX jugée Initiative remarquable par Initiative France
  • Mars 2018 : OSIRX lauréat de l'appel à projets D3E d'ESR

Chaque jour, nous rencontrons des obstacles. Voici un florilège des principaux freins rencontrés (que d'autres jeunes pousses doivent aussi rencontrer) :

  • L'administration (publique et privée) : la dimension temporelle de l'administration étant complètement différente de celle des jeunes pousses, elle peut leur faire très mal.
  • L'administratif : les assurances, les réglementations, la fiscalité, les paies incompréhensibles, etc. sont une perte de temps incommensurable.
  • Les banques : soit elles n'ont plus les compétences nécessaires pour comprendre les dossiers, soit elles ne jouent tout simplement pas le jeu du financement des jeunes pousses (malgré la contre-garantie du prêt Innovation par la BPI, etc.).
  • Les promesses non tenues : quand le ministère de l'Environnement vous promet 150 K€ pour amorcer votre projet, l'annonce à la presse web et papier, puis ne vous donne que 50 K€, avec en plus des mois et des mois de retard, sans vous envoyer un seul mot d'explication, il y a de quoi se faire quelques frayeurs et s'agacer.
  • Le refus de la BPI de nous accorder une bourse FrenchTech : incompréhensible. La chargée d'affaire concernée change d'ailleurs de justification tous les mois... quand elle daigne nous répondre, quelques mois après nos demandes.
  • Notre impatience et notre manque de diplomatie : notre passion et notre franc-parler peuvent nous fermer des portes (mais nous en ouvrir également, du moins nous le pensons).

Globalement, le point qui bloque aujourd'hui le plus notre évolution, outre l'absence de fonds propres (volontaire, je l'explique par la suite), est le refus des banques de nous accorder un prêt Innovation.

Mise en oeuvre

Domaines d’activités

  • Industrie
  • Recyclage

Les acteurs du recyclage sont presque tous concernés par OSIRX. Il suffit que leurs déchets contiennent des métaux précieux pour qu'OSIRX fasse sens et leur permette de maximiser leurs gains lors de la vente de leurs déchets.

Certains industriels peuvent également être intéressés par la caractérisation d'OSIRX. Prenons l'exemple de STMicroelectronics. Ils ont parfois des chutes de production de processeurs. Aujourd'hui, ils les envoient à un prestataire qui ne leur renvoie qu'une partie seulement de la valeur métal réelle de leurs marchandises. Avec OSIRX, la donne changerait. La connaissance est un atout.

Nous avons récemment approché Total, car nous sommes persuadés que ce groupe pétrolier produit de grands volumes de déchets qui ne sont actuellement pas valorisés à leur juste valeur. Nous avons également pensé à l'IFPEN ou à d'autres. Notre technologie peut vraiment être utile à beaucoup d'entreprises.

Ressources

  • Métaux
  • Déchet
  • Minerais
  • Electronique
  • Terres rares

Piliers de l’économie circulaire

  • Ecologie industrielle et territoriale
  • Recyclage

Partenaires

  • Chimie Perspectives, Junior-Entreprise de l'école Chimie ParisTech (ENSCP)
  • Les étudiants ingénieurs de Chimie ParisTech nous ont aidés au tout début du projet OSIRX, notamment pour étoffer nos recherches sur l'état de l'art antérieur.


  • Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
  • Nous avons développé nous-mêmes toute la technologie OSIRX qui est aujourd'hui brevetée provisoirement aux États-Unis. Cependant, après avoir rencontré un responsable du CEA Leti lors de la finale d'un concours, nous avons appris que ce prestigieux organisme disposait d'un capteur RX bien plus optimisé et polyvalent que les capteurs standard du marché que nous utilisons actuellement sur notre prototype. Nous avons donc décidé d'initier une étude avec le CEA Leti qui aboutira, nous espérons, à un transfert technologique de leur capteur. Ceci améliorera notre dispositif OSIRX.


  • CAP Engineering Solutions & Services (CAPESS)
  • Après mout recherches (en France et à l'étranger), nous avons enfin trouvé le partenaire idéal pour réaliser notre prototype. Il s'agit de CAPESS, un bureau d'ingénierie basé à La Ciotat, qui a des sérieuses compétences en ingénierie générale, en mécanique et en sources ionisantes.


  • Éa éco-entreprises (cluster)
  • Éa éco-entreprises n'est peut-être pas au premier abord le pôle de compétitivité le plus approprié à notre domaine d'activité (contrairement à un SCS ou un Trimatec). Cependant, c'est Éa qui nous a soutenus efficacement depuis le début, qui est resté humble et respectueux, etc.


  • Med'Invent Consulting
  • Basé à La Ciotat, ce cabinet spécialisé dans les brevets nous accompagne dans la rédaction de notre protection intellectuelle. L'expérience du fondateur, M. Philippe Brun, ancien de chez Gemalto, nous a rassurés sur les compétences de la société.

Moyens techniques et méthodologies

Les moyens techniques mis en œuvre sont nos PC, nos cerveaux, notre passion pour l'économie bleue et notre détermination à faire avancer les choses. Nous avons également eu la chance de pouvoir louer un local dans la pépinière Cleantech du Technopôle Arbois-Méditerranée à Aix-en-Provence (emménagement prévu le 1er avril, ce qui nous permettra d'installer notre banc de tests dans de bonnes conditions les semaines suivantes).Notre méthodologie est de travailler en permanence pour faire avancer nos projets et ainsi valoriser toujours plus notre entreprise. Quand nous sommes bloqués dans le développement d'OSIRX (à cause d'un délai d'approvisionnement, de l'attente d'un paiement ou du refus des banques de nous accorder un prêt Innovation), nous travaillons sur d'autres projets tout aussi prometteurs qu'OSIRX mais moins avancés pour l'instant. Grâce à cette méthodologie, nous espérons qu'à terme, notre entreprise soit enfin valorisée à sa juste valeur. C'est seulement alors que nous envisagerons éventuellement une ouverture de capital "raisonnable et sensée".

Moyens humains

Faute de moyens financiers, nous ne sommes aujourd'hui que 2 salariés. Heureusement, nous sommes assez complémentaires, polyvalents et courageux pour assurer l'ensemble des processus du développement du projet. Voici le lien vers nos profils LinkedIn :

  • Youssef Menjour : linkedin.com/in/youssefmenjour/

Nos prévisions d'effectifs (ETP) étaient initialement de 5 en 2018, 8 en 2019, 12 en 2020 et 16 en 2021. Comme les banques ne jouent pas le jeu de l'innovation (malgré la contre-garantie du prêt par nos impôts) et ne nous accordent pas de prêt Innovation pour l'instant, ces prévisions devront probablement être décalées dans le temps.

Le panel de profils recherchés est assez large. Nous recruterons bien sûr quiconque sera compétent, motivé et débrouillard, qu'importe son genre, son sexe, sa religion, sa couleur de peau ou nous ne savons quoi d'autre. Ce qui nous tient à cœur est de faire de notre société une entreprise qui accueille des personnes respectueuses du monde et des gens qui nous entourent. Nous sommes convaincus qu'en donnant du sens au travail, nous pouvons concilier plaisir et productivité. Pour reprendre une idée d'Idriss Aberkane : l'orange, nous préférons la planter pour faire pousser un oranger, plutôt que la presser pour nous faire un jus.

Financement

Financeurs

  • Fondateurs
  • 50 K€, 100% en numéraire et totalement libérés.


  • Dispositif d'amorçage de Provence (Pays d'Aix Développement)
  • 40 K€, soit 20 K€ de prêt d'honneur par porteur du projet OSIRX.


  • Initiative remarquable (Initiative Pays d'Aix pour le volet Innovation et Initiative France pour le volet Initiative remarquable)
  • 41 K€, soit 20,5 K€ de prêt d'honneur par porteur du projet OSIRX.


  • Filidéchet (Ademe + région PACA)
  • 100 K€ de subvention pour financier l'achat des équipements du prototype (TRL 4-5).


  • Greentech verte - Jeunes pousses (ministère de l'Environnement)
  • 50 K€ de subvention sous forme de minimis (au lieu des 150 K€ initialement prévus et annoncés dans toute la presse par le ministère), pour amorcer le projet.


  • Accelerator program (EIT KIC Climat)
  • 95 K€ de subvention en 3 phases


  • Appel à projets D3E (éco-organisme ESR)
  • 180 K€ de subvention pour développer le pilote industriel d'OSIRX (et notamment toute sa partie base de données, qui cartographiera la mine urbaine pour la 1re fois).


  • Programme Airbus Développement (Airbus Helicopters ou Eurocopters)
  • 20 K€ de prêt participatif libéré en 2 étapes, selon embauches.

Documents

Lien(s) web

 http://www.compagnie-france.com/osirx/

Documents

  • OSIRX - Résumé opérationnel

  • OSIRX - Lettre de soutien de Derichebourg

  • OSIRX - Lettre de soutien de M. François-Michel Lambert

  • OSIRX - Pitch
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Auteur de la page

Aloïs Lien

Directeur général

Modérateur

Cyrielle BORDE

Cheffe de service adjointe - Service Industrie